Sur le fond du réservoir d'eau de la 1re lampe Mercier Alu (pas la SETA), il y a l'inscription Alpax Bté SGDG. Sur la 2e, tout à fait semblable,
il y a la même inscription mais étampée sens dessus dessous. Un peu empâtée et moins lisible, à cause de la chaux.
En revanche, sur la 2ème, il y a les deux espèces d'oreilles en forme de parenthèses sur le pourtour du fond. Sur la 1ère, ces oreilles qui font saillie
de 2 mm environ, même moins, ont été meulées. Quel était leur rôle lors de la fonte en moule... ?
On remarquera la façon curieuse d'écrire ALPAX,
reproduite par Jean-Paul sur l'image. C'était une marque déposée, remontant à 1920 et donc,
ça devait sans doute être écrit impérativement de cette façon.
Comme Jean-Paul le dit :
sur la Séta alu, vue dans la page précédente, nulle part n'apparaît le sigle Alpax. Or c'était forcément fait dans cet alliage, qui permet de couler aisément des pièces.
Le brevet a été déposé par Aladar Pacz en 1920 (espacenet.com), et les brevets internationaux sont normalement
valables vingt ans. Celui-ci a été déposé dans plusieurs pays, USA et Europe, et je crois qu'en 1920 il était valable vingt ans.
Cela explique que les Mercier alu sont marquées Alpax, parce que probablement antérieures à 1941, et les SETA ne l'étaient plus,
parce que postérieures à l'expiration du brevet.
|